Coronavirus : le masque fait maison, un masque très joli, très coloré et très, très peu pratique

A priori, l’idée a l’air tout simplement géniale : confectionner soi-même des masques barrières, choisir la couleur et le design et c’est parti ! La réalité est un peu moins rose : laver, laver et relaver, et ce à 90 °C, ou bien faire bouillir dans un bain-marie pendant 5 minutes sur le feu. Avant la première utilisation. Et avant chaque nouvelle utilisation. Chaque masque devient sinon un réel nid à virus. Ce lavage quotidien consomme toutefois beaucoup d’électricité et coûte à la longue beaucoup d’argent.

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Guide Trotec : un masque chirurgical n’est en aucun cas néfaste, contrairement à ce qu’affirment certaines rumeurs

Le masque chirurgical contribue à réduire davantage le risque général d’infection du coronavirus. C’est bien pour cette raison que son port est recommandé de façon unanime par presque tous les virologistes, épidémiologistes et médecins hygiénistes ainsi que par le gouvernement fédéral et tous les présidents des gouvernements régionaux en Allemagne. Des rumeurs circulent toutefois quant aux effets des masques sur la santé : Le port d’un masque n’est-il pas rapidement source de fatigue ? N’augmente-t-il pas la concentration de CO2 dans le sang ? N’est-il pas dangereux pour les enfants ? Le guide Trotec apporte les réponses à ces questions – et Trotec les solutions pour une protection bucco-nasale efficace.

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