Une nouvelle étude de la KICT le prouve : les purificateurs d’air réduisent le risque d’infection au coronavirus jusqu’à 73 pour cent

Que ce soit à l’école, dans un magasin, au restaurant ou au supermarché : le risque d’être infecté par le coronavirus plane littéralement dans l’air. Via les particules infectieuses d’aérosols présents dans l’air, le virus SARS-CoV-2 pénètre dans l’organisme avec l’air inhalé, où le pathogène du Covid-19 se répand dans les voies respiratoires. Les chercheurs de l’Université technique de Berlin ont récemment calculé le niveau de risque d’infection dans certaines pièces et situations de la vie quotidienne.

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Enregistreur de données de la qualité de l’air CO₂ BZ30 – pour l’enregistrement autonome de longue durée de la concentration en dioxyde de carbone, de la température ambiante et de l’humidité de l’air

Alerte de pandémie et d’infection dans tous les lieux : à quelle fréquence peut-on ou doit-on ventiler les salles de classe, les salles d’attente et les salles de réunion ? Il est souvent recommandé d’aérer toutes les 20 minutes. Mais cela suffit-il ? Est-ce trop peu, trop souvent ou juste ce qu’il faut ? L’enregistreur de données de la qualité de l’air CO₂ BZ30 apporte de la clarté à ce sujet car il avertit via une fonction d’alarme en cas de concentration en CO₂ élevée. Les écoles, bureaux et ménages sont ainsi avertis d’une potentielle gestion insuffisante de la qualité de l’air qui pourrait entraîner un risque d’infection élevé.

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Le moniteur de la qualité de l’air BQ30 indique en un coup d’œil, par un code type feu de circulation, la charge actuelle de CO2 et de poussières fines contenue dans l’air ambiant

Les sources potentielles de particules fines et d’émissions de CO₂ ont une influence négative sur le climat ambiant et le bien-être. Des activités « normales », aussi bénignes puissent-elles paraître, comme cuisiner, passer l’aspirateur, fumer du tabac ou laisser brûler une bougie, allumer un poêle ou une cheminée, y contribuent également. Une concentration élevée de poussières fines et de CO₂ dans l’air ambiant peut en effet causer des troubles de la concentration et du sommeil ainsi que des réactions allergiques. Les appareils de mesure peuvent actuellement servir de feux de signalisation de CO₂ en ces temps de pandémie afin de minimiser le risque d’infection en procédant à une ventilation adéquate. Le moniteur de la qualité de l’air BQ30 de Trotec mesure non seulement la charge de CO₂ actuelle mais également le niveau de poussières fines et de pollen ainsi que les données climatiques de la pièce et indique en un coup d’œil la qualité de l’air ambiant.

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TAC V+ : à coup sûr, le Volvo des purificateurs d’air ambiant

Aucune marque automobile n’a autant influencé le développement de technologies de sécurité innovantes que la marque Volvo. Le nom de Volvo est encore synonyme dans le monde entier de sécurité exemplaire pour les passagers et de technologie innovante. Il faut avouer que le nouveau purificateur d’air TAC V+ de Trotec est encore au début de son histoire à succès. Nous sommes cependant convaincus que le purificateur d’air mobile TAC V+ joue déjà un rôle tout aussi important dans la lutte contre le coronavirus que les innovations techniques de Volvo visant à réduire le nombre d’accidents sur les routes.

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Des particules contaminées par le coronavirus plusieurs heures en suspension dans le bureau : un taux d’humidité trop faible dans les pièces favorise la transmission, en particulier durant la saison froide

On sait depuis longtemps maintenant que les particules d’aérosol constituent les principaux vecteurs de transmission du SRAS-CoV-2. L’aérosol, un mélange d’air et de composants liquides est produit dans les poumons et libéré dans la pièce lorsque l’on respire et que l’on parle. Les particules infectieuses sous forme de tout petits aérosols restent en suspension plusieurs heures dans l’air ambiant et peuvent être inhalées par d’autres personnes. C’est pourquoi les experts de la santé recommandent une aération suffisante par l’ouverture des fenêtres, mais il s’agit là d’une solution purement applicable en été et non en hiver. Des scientifiques de l’institut Leibniz de recherche sur la troposphère (TROPOS) de Leipzig et du CSIR-National Physical Laboratory de New Dehli ont évalué un total de dix études internationales réalisées entre 2007 et 2020 et portant sur l’influence de l’humidité de l’air sur les agents pathogènes de la grippe et sur les coronavirus SRAS-CoV-1, MERS-CoV et SRAS-CoV-2.

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Prévention de l’infection : Trotec développe une solution technique pour une protection combinée contre les coronavirus infectieux dans l’air et sur les surfaces.

Selon des études américaines, l’agent pathogène de la Covid-19, Sars-CoV-2, peut survivre plusieurs jours sur des surfaces contaminées et entraîner une infection du coronavirus par contact. En plus des principales voies de transmission aériennes telles que les gouttelettes et les aérosols. Plusieurs foyers de coronavirus observés en haute mer laissent penser que ce danger d’infection par contact n’est pas uniquement de nature théorique.

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De nouvelles études réduisent l’espoir d’un vaccin rapidement disponible contre le Corona. Les entreprises doivent se protéger, elles et leurs collaborateurs, à long terme elles-mêmes. Les purificateurs d’air haute performance avec filtre HEPA sont préconisés en tant que solution technique pour l’industrie et l’économie.

Le Coronavirus et les mesures adoptées pour endiguer l’épidémie de Corona ont plongé l’économie allemande dans une crise grave. En particulier les secteurs tertiaires de proximité ont été sévèrement touchés par les fermetures forcées imposées par les autorités. Et même après la réouverture, beaucoup de ces entreprises subissent toujours des baisses parfois dramatiques des ventes.

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Purificateur d’air hautes performances TAC V+. Une protection plus efficace contre les nuages d’aérosols infectieux et les virus présents dans l’air ambiant

D’après nos connaissances actuelles, le coronavirus se transmettrait principalement par l’air ambiant et seulement en petite partie par contact direct ou par les gouttelettes éjectées à la parole. À l’origine de ce risque d’infection par l’air se trouveraient les « aérosols », un mélange de gaz (de l’air généralement) et de composants solides ou liquides qui, chez les personnes malades, contiennent des virus. Ces minuscules particules en suspension sont libérées dans la pièce à la respiration et à la parole. Tandis que les plus grosses gouttelettes, plus lourdes, tombent au sol à environ 1,5 m (d’où la règle de distanciation de 1,5 m), les particules d’aérosol infectieuses, en raison de leur petite taille (environ 0,3 à 0,4 µm) peuvent continuer à flotter parfois pendant plusieurs heures dans l’air et à se déplacer avec le système de ventilation, avant d’être inhalées !

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