Que ce soit à l’école, dans un magasin, au restaurant ou au supermarché : le risque d’être infecté par le coronavirus plane littéralement dans l’air. Via les particules infectieuses d’aérosols présents dans l’air, le virus SARS-CoV-2 pénètre dans l’organisme avec l’air inhalé, où le pathogène du Covid-19 se répand dans les voies respiratoires. Les chercheurs de l’Université technique de Berlin ont récemment calculé le niveau de risque d’infection dans certaines pièces et situations de la vie quotidienne.
Qui connaissait le mot « aérosols » il y a un an ? Il est maintenant clair que les particules infectieuses en suspension à longue durée de vie sont responsables d’une grande partie des infections au coronavirus. Le célèbre spécialiste des aérosols, le professeur Alfred Wiedensohler de l’Institut de recherche troposphérique de Leibniz (TROPOS) à Leipzig, met en garde : « Dans les climats froids et tempérés, les espaces intérieurs ont généralement un climat intérieur très sec pendant la saison de chauffage. Cela pourrait encourager la propagation du coronavirus. » En effet, en cas d’humidité plus élevée, les gouttelettes sont plus grosses, tombent au sol plus vite et peuvent être moins inhalées par les personnes en bonne santé.
Le masque chirurgical contribue à réduire davantage le risque général d’infection du coronavirus. C’est bien pour cette raison que son port est recommandé de façon unanime par presque tous les virologistes, épidémiologistes et médecins hygiénistes ainsi que par le gouvernement fédéral et tous les présidents des gouvernements régionaux en Allemagne. Des rumeurs circulent toutefois quant aux effets des masques sur la santé : Le port d’un masque n’est-il pas rapidement source de fatigue ? N’augmente-t-il pas la concentration de CO2 dans le sang ? N’est-il pas dangereux pour les enfants ? Le guide Trotec apporte les réponses à ces questions – et Trotec les solutions pour une protection bucco-nasale efficace.
Après cinq semaines d’arrêt, Volkswagen redémarre la production automobile. Afin de garantir la sécurité de son personnel, l’entreprise a recours à des normes d’hygiène renforcées et à des règles de distanciation strictes. Là où il est impossible de respecter une distance d’un mètre et demi, le personnel doit porter un masque. Ce redémarrage de la production permet également aux fournisseurs du constructeur qui fabriquent des composants tels que tableaux de bord ou faisceaux électriques de respirer. Et chez nous aussi, le pack de 50 masques chirurgicaux à usage unique sort « just in time » de la production !
Avec de plus en plus de patients infectés par le coronavirus à travers le monde et de cas suspectés, les hôpitaux font chaque jour face à la contrainte d’élargir sous pression les capacités des stations d’isolement spécialement aménagées pour le coronavirus et les capacités de ventilation mécanique. Dans la mesure où les espaces et le personnel disponibles suffisent, les hôpitaux bloquent alors des ailes de bâtiments entières pour le traitement isolé des patients infectés par le coronavirus. Il est toutefois prévisible que le nombre de lits dédiés à court ou long terme ne suffise pas si la courbe du nombre d’infection continue d’augmenter.


