

Actuellement, le risque de croiser au moins une personne infectée par le coronavirus dans une classe d’école française est supérieur à 40 pour cent. C’est ce qui ressort des données actuelles du site internet Covidtracker, un tableau de bord du coronavirus indépendant qui collecte et évalue les données officielles de la pandémie de coronavirus.
La deuxième vague qu’on craignait est arrivée, juste au moment où la saison froide a commencé. Les épidémiologistes et les virologues avertissent depuis le début de la pandémie contre l’effet hivernal : le froid qui règne à l’extérieur pousse les gens à rester chez eux et le virus se propage d’autant plus facilement à l’intérieur de pièces fermées. Une étude de chercheurs japonais a conclu après évaluation de suivis de contacts à un risque de contamination 19 fois plus élevé dans des pièces qu’à l’air libre.
Alerte de pandémie et d’infection dans tous les lieux : à quelle fréquence peut-on ou doit-on ventiler les salles de classe, les salles d’attente et les salles de réunion ? Il est souvent recommandé d’aérer toutes les 20 minutes. Mais cela suffit-il ? Est-ce trop peu, trop souvent ou juste ce qu’il faut ? L’enregistreur de données de la qualité de l’air CO₂ BZ30 apporte de la clarté à ce sujet car il avertit via une fonction d’alarme en cas de concentration en CO₂ élevée. Les écoles, bureaux et ménages sont ainsi avertis d’une potentielle gestion insuffisante de la qualité de l’air qui pourrait entraîner un risque d’infection élevé.
Qui connaissait le mot « aérosols » il y a un an ? Il est maintenant clair que les particules infectieuses en suspension à longue durée de vie sont responsables d’une grande partie des infections au coronavirus. Le célèbre spécialiste des aérosols, le professeur Alfred Wiedensohler de l’Institut de recherche troposphérique de Leibniz (TROPOS) à Leipzig, met en garde : « Dans les climats froids et tempérés, les espaces intérieurs ont généralement un climat intérieur très sec pendant la saison de chauffage. Cela pourrait encourager la propagation du coronavirus. » En effet, en cas d’humidité plus élevée, les gouttelettes sont plus grosses, tombent au sol plus vite et peuvent être moins inhalées par les personnes en bonne santé.
Aucune marque automobile n’a autant influencé le développement de technologies de sécurité innovantes que la marque Volvo. Le nom de Volvo est encore synonyme dans le monde entier de sécurité exemplaire pour les passagers et de technologie innovante. Il faut avouer que le nouveau purificateur d’air TAC V+ de Trotec est encore au début de son histoire à succès. Nous sommes cependant convaincus que le purificateur d’air mobile TAC V+ joue déjà un rôle tout aussi important dans la lutte contre le coronavirus que les innovations techniques de Volvo visant à réduire le nombre d’accidents sur les routes.
Une protection sûre contre les virus et les aérosols présents dans l’air ambiant.
On sait depuis longtemps maintenant que les particules d’aérosol constituent les principaux vecteurs de transmission du SRAS-CoV-2. L’aérosol, un mélange d’air et de composants liquides est produit dans les poumons et libéré dans la pièce lorsque l’on respire et que l’on parle. Les particules infectieuses sous forme de tout petits aérosols restent en suspension plusieurs heures dans l’air ambiant et peuvent être inhalées par d’autres personnes. C’est pourquoi les experts de la santé recommandent une aération suffisante par l’ouverture des fenêtres, mais il s’agit là d’une solution purement applicable en été et non en hiver. Des scientifiques de l’institut Leibniz de recherche sur la troposphère (TROPOS) de Leipzig et du CSIR-National Physical Laboratory de New Dehli ont évalué un total de dix études internationales réalisées entre 2007 et 2020 et portant sur l’influence de l’humidité de l’air sur les agents pathogènes de la grippe et sur les coronavirus SRAS-CoV-1, MERS-CoV et SRAS-CoV-2.
Selon des études américaines, l’agent pathogène de la Covid-19, Sars-CoV-2, peut survivre plusieurs jours sur des surfaces contaminées et entraîner une infection du coronavirus par contact. En plus des principales voies de transmission aériennes telles que les gouttelettes et les aérosols. Plusieurs foyers de coronavirus observés en haute mer laissent penser que ce danger d’infection par contact n’est pas uniquement de nature théorique.