Les crèches et le coronavirus : Trotec développe des protections contre le coronavirus pour les éducatrices et les enfants dans les garderies

Dans sa fiche signalétique actuelle sur le coronavirus, l’Institut Robert-Koch confirme la diffusion du virus par aérosols dans l’air ambiant et respiré[1]. Afin de limiter ce risque de contamination dans les garderies, Trotec a développé un nouveau purificateur d’air haute fréquence, le TAC V+, dont le but est de filtrer les aérosols infectieux (minuscules particules de salive) présents dans l’air. Selon certains scientifiques et certains virologues, les aérosols constituent l’une des principales sources d’infection par le coronavirus. À l’inverse, si l’air ambiant est « nettoyé » de manière efficace et durable, le risque de contamination par des aérosols libérés par une personne en parlant ou en toussant diminue de manière significative.

Et soudain, tout est allé très vite ! Après de longues semaines au cours desquelles seuls les parents exerçant des professions indispensables pouvaient confier leurs enfants à des services de garde d’urgence, de nombreux jardins d’enfants, crèches et garderies rouvrent désormais avec un fonctionnement restreint. Une réouverture trop rapide d’après les directeurs de crèches et les éducatrices qui critiquent, à juste titre, le manque de soutien des circonscriptions et des communes. Beaucoup d’éducatrices en charge des tout-petits s’inquiètent pour leur propre santé. Il n’existe pas d’approche efficace de protection du personnel pédagogique contre une contamination par le coronavirus.

Les éducatrices doivent travailler sans protection, les enfants sont divisés en groupes.

Afin de ne pas gêner les expressions du visage et les gestes lors de l’encadrement et ainsi ne pas perturber les enfants, de nombreux gérants de crèches incitent le personnel à renoncer au port du masque de protection. La règle de distanciation n’est pas non plus respectée dans les crèches et les centres d’accueil de jour, puisque les enfants ont besoin de proximité et « doivent aussi parfois être pris dans les bras », selon les déclarations du ministre de la Famille de Rhénanie-du-Nord-Westphalie, en Allemagne, Joachim Stamp, à une radio locale. Les visières, envisagées comme alternative, ne font cependant pas l’affaire. Elles sont en effet trop ouvertes par-dessous et sur les côtés et ne permettent qu’une déviation des gouttelettes et des aérosols (minuscules particules de salive) sans les bloquer. De plus, les effectifs de personnel, déjà réduits habituellement, sont davantage mis à rude épreuve par les nouvelles restrictions liées au coronavirus. Les éducatrices doivent rester dans des groupes fixes, séparés physiquement les uns des autres. De ce fait, de nombreux établissements réduisent déjà leurs horaires d’ouverture de manière préventive, et ce d’une heure le matin et d’une heure l’après-midi. On peut néanmoins se demander si tout cela est très utile ! Si des employés tombent malades, ce château de cartes de différents groupes risque de s’effondrer rapidement.

Par conséquent, il est plus que compréhensible que de nombreuses éducatrices aient le sentiment d’être « les boucs émissaires d’une politique défaillante ». Les recommandations du ministère fédéral de la Santé et pour la vie de tous les jours, à savoir une protection maximale contre une contamination par le virus, ne doivent pas être appliquées à leur travail.

La protection des enfants « et » des éducatrices est possible : Trotec a la solution.

Afin de pouvoir évaluer l’effet protecteur des règles de distanciation, des masques et du lavage des mains, il faut auparavant étudier les différentes voies de transmission. Seulement 10 % environ des infections par le coronavirus se produisent par un contact direct. A l’inverse, la moitié des infections est liée à l’inhalation d’aérosols infectieux invisibles en suspension dans l’air ambiant des pièces fermées.

Lorsque l’on observe, avec ces informations en tête, la situation dans les garderies, on comprend très vite que les enfants batifolant ou pris sur les genoux représentent, au même titre que les attaques de chatouilles, un risque d’infection relativement faible pour les éducatrices. Néanmoins, l’air ambiant pose un risque d’infection bien plus important. Un seul enfant infecté par le coronavirus dans le groupe rejettera, rien qu’en parlant à voix haute, plusieurs milliers d’aérosols infectieux dans l’air ambiant[3].

Les aérosols – le risque d’infection invisible présent dans l’air ambiant

Lorsque nous respirons, parlons, ou toussons, nous rejetons non seulement de grosses gouttelettes visibles dans la pièce sous forme de « postillons », mais également, et dans une bien plus vaste mesure, de très petits aérosols. Si les grosses gouttelettes tombent au sol à environ 1,5 m en raison de leur poids (d’où la règle de distanciation d’un 1,5 m), les aérosols infectieux d’à peine un millième de millimètre restent, quant à eux, en suspension dans l’air « pendant plusieurs heures ». C’est pourquoi les règles de distanciation, les groupes réduits et séparés physiquement ainsi qu’un lavage de mains régulier ne protègent pas, à eux seuls, d’une diffusion du virus. Lorsque l’on parle, les aérosols libérés se répandent de manière invisible et circulent dans l’air ambiant de la pièce avant d’être inhalés. L’objectif doit donc être de limiter au maximum l’inhalation de cet air par les différents groupes de jeu. La solution à cela est l’usage combiné d’un purificateur d’air TAC V+.

Pour un air respirable sans virus dans les crèches et les centres d’accueil pour enfants : le purificateur d’air TAC V+

Avec le nouveau purificateur d’air TAC V+, Trotec a mis au point un purificateur d’air ambiant unique au monde, avec la technique de purification de l’air HEPA. Le TAC V+ fait circuler et purifie l’air ambiant dans les pièces fermées tout aussi efficacement que dans les salles blanches et dans les blocs opératoires des hôpitaux, où l’hygiène est primordial. Cela est rendu possible par le débit très élevé d’air du purificateur, ainsi que par le nouveau filtre haute performance HEPA d’une efficacité de filtration de 99,995 %. De cette façon, une pièce divisée en groupes peut être rester durablement sans virus, ni germe, « indépendamment du nombre d’enfants ».

Ce qui en théorie semble très technique se révèle finalement en pratique très simple. L’air ambiant est aspiré près du sol et débarrassé de ses bactéries et de ses virus par le filtre HEPA avant d’être relâché dans la pièce en tant qu’air pur sans germe. Sans montage ou raccordement complexe. Il suffit de le brancher pour immédiatement obtenir la plus haute protection possible contre les infections ! L’appareil a été conçu de telle manière qu’il ne représente aucun danger pour les enfants qui jouent. L’appareil est stable et l’orifice d’aspiration est équipé d’une grille de protection à mailles étroites contre les petits doigts des enfants curieux.

Protection optimale pour le personnel pédagogique et pour les enfants

Les règles de distanciation, une réduction du nombre d’enfants dans les groupes ainsi que des cycles de nettoyage et de désinfection renforcés – toutes ces mesures prises séparément sont judicieuses ! Cependant, elles n’offrent aucune protection contre les aérosols infectieux qui, tout comme la fumée, s’élèvent parfois de plusieurs mètres dans les airs avant de retomber lentement au sol de toute la pièce après quelques heures.

Avec le respect de toutes les mesures de sécurité et d’hygiène, le risque d’infection des enfants ou des éducatrices par le coronavirus via l’air ambiant est presque complètement éliminé grâce à l’utilisation d’un purificateur d’air TAC V+ et d’un filtre à virus ! Le purificateur d’air mobile TAC V+ crée des « zones d’air pur » propres et sans virus partout où il est installé.

Impossible de faire mieux et en faire moins serait nuisible pour la protection :

  • Respect de toutes les restrictions et consignes d’hygiène (réduction des groupes, séparation physique des groupes, mesures de désinfection, etc.)
  • Purification de l’air pour une diminution du risque d’infection par l’air

Informations importantes sur le filtre à particules H14 HEPA d’une perméabilité ≤ 0,005 %

Les filtres à virus H14, spécialement développés par Trotec pour le les purificateur d’air TAC V+ et TES 200, convainquent par leur efficacité de filtration de première classe et leurs caractéristiques de performance innovantes. Avec une perméabilité de seulement 0,005 % et un taux de séparation de 99,995 %, ils offrent une séparation 10 fois supérieure à celle des filtres H13 classiques. Grâce à ces propriétés exceptionnelles, les filtres haute performance H14 servent à la purification de l’air  dans les salles d’opération par exemple, ainsi que dans les espaces comparables où l’hygiène est importante. Ils constituent par conséquent les meilleurs moyens de protection des enfants et du personnel encadrant contre les risques de contamination, en ces temps d’épidémie généralisée.

Tous les filtres haute performance H14 proposés par Trotec répondent aux normes de qualité les plus élevées, obligatoires pour la filtration des bactéries et des virus :

  • Chaque filtre haute performance H14 est testé individuellement et se voit attribuer son propre numéro de série.
  • Le protocole de contrôle est joint à chaque filtre H14 en tant que certificat en double exemplaire.
  • Le certificat de contrôle original peut être classé dans les dossiers, et la copie peut être fixée sur l’appareil de purification d’air, selon les besoins.
  • Les filtres H14 HEPA haute performance sont testés conformément aux normes EN 1822 et EN 60335-2-69.

Le TAC V+, disponible dès maintenant à la vente et à la location, a été développé et testé dans la cadre d’une étude menée à Heinsberg.

Trotec a mis en place un centre d’assistance pour les services d’aide sociale à l’enfance et les responsables pour toutes questions concernant la protection contre les infections :

Trotec GmbH
Monsieur Jochem Weingartz
Téléphone : +49 2452 962-137
jochem.weingartz@trotec.com


[1] Institut Robert-Koch, SARS-CoV-2 Fiche signalétique sur la maladie à coronavirus (COVID-19) (en allemand), version : vendredi 15 mai 2020

[3] Étude publiée (en anglais) par le « National Institute of Diabetes and Digestive and Kidney Diseases (NIDDK) », (Institut national américain du diabète et des maladies digestives et rénales) dans la revue spécialisée « Proceedings of the National Academy of Sciences of the United States of America » (PNAS ou Comptes-rendus de l’Académie nationale des sciences des États-Unis d’Amérique)

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