Des coronavirus sont en suspension dans l’air : Comment réduire les risques d’infection dans votre salon de massage grâce à un système d’humidification professionnel de l’air

Les réouvertures permettront sans doute également pour les salons de massage de libérer les tensions dues au stress accumulé au début de la crise du coronavirus. Toutefois, outre les nouvelles consignes d’hygiène strictes, vous devez, en tant qu’entreprise responsable, garder en tête un risque particulier d’infection au coronavirus : au-delà du risque bien connu d’infection par gouttelettes, il existe, dans votre salon aussi, un autre risque d’infection particulièrement élevé, à savoir les particules en suspension. Le professeur et docteur Roland Netz de l’Institut de physique théorique de l’Université de Berlin a l’explication à ce phénomène, mais également à la solution…

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Les coronavirus « en suspension » dans l’air : comment réduire les risques d’infection au bureau, grâce à l’humidification professionnelle de l’air

Tout se met en place vers une fin du confinement. Les bureaux se rempliront à nouveau avec les retours du télétravail. Cependant, toute personne qui se fie uniquement aux règles de distanciation et au port du masque pour endiguer le coronavirus court un grand risque d’infection. Le danger de contagion guette à présent dans les bureaux avec une faible humidité, sous la forme d’aérosol, c’est-à-dire de minuscules particules infectieuses expirées et flottant dans l’air. C’est pourquoi le physicien Roland Netz de l’Université libre de Berlin recommande une humidification professionnelle de l’air. Ainsi, les gouttelettes ne peuvent pas rétrécir aussi rapidement et sont donc plus susceptibles de retomber au sol sous une forme plus lourde.

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Des coronavirus sont en suspension dans l’air : Comment réduire les risques d’infection dans les installations publiques grâce à système d’humidification professionnel de l’air

Dans les mairies et les maisons de retraite, les bibliothèques et les musées, la normalité commence peu à peu à s’imposer de nouveau. Le virus est cependant toujours présent et ne se fier qu’aux seules consignes de distanciation et de port obligatoire du masque pour l’endiguer nous expose nous-même ainsi que les autres à un risque d’infection élevé. Le risque de contamination sous la forme de petites particules infectieuses expirées en suspension est particulièrement présent dans les pièces de bureau fermées avec peu d’humidité ambiante. C’est pourquoi le physicien Roland Netz de l’Université libre de Berlin recommande une humidification professionnelle de l’air. Celle-ci permettrait de ralentir le rétrécissement des gouttelettes, qui seraient alors trop lourdes pour rester en suspension et tomberaient au sol.

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Les coronavirus « flottent » dans l’air : Pourquoi les restaurateurs devraient assurer une humidification de l’air suffisante

À présent, la réouverture des restaurants est également à l’ordre du jour. Comme c’est justement là que rôde un nouveau risque de contagion sous forme de ce qu’on appelle des particules d’aérosols, c’est-à-dire de très petites particules suspendues infectieuses, le physicien Roland Netz conseille le recours à une humidification de l’air professionnelle. La taille des gouttelettes ne pourra donc pas se réduire aussi rapidement et les gouttelettes plus lourdes tomberont plus rapidement au sol. Il ajoute par ailleurs, à raison : « Sinon, les muqueuses deviendraient en outre plus sèches et ainsi plus vulnérables aux virus. » Dans ce cadre, l’association allemande des hôtels et restaurants (DEHOGA Bundesverband) recommande même l’utilisation d’humidificateurs d’air.

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